• Blocage de Sciences Po : les étudiants délogés par des groupuscules d’extrême droite

    Après le campus de Nancy, la Sorbonne et l’ENS, des étudiants de Sciences Po ont bloqué l’accès au 27 rue Saint-Guillaume jeudi 14 avril dernier, pour protester contre « le faux choix entre le capitalisme néolibéral et autoritaire de Macron, ou contre le capitalisme réactionnaire et xénophobe de Marine Le Pen », selon le communiqué de Solidaires.  Alors que le blocage se déroulait dans une ambiance bon enfant au son de slogans bien connus des militants antifascistes « pas de quartier pour les fachos, pas de fachos dans nos quartiers » ou « la jeunesse déteste le Front national », des militants de groupuscules d’extrême-droite sont intervenus…

  • Sciences Po bloqué – retour sur la journée du 5 mars

    Depuis lundi, les étudiants, doctorants, professeurs titulaires, vacataires et salariés mobilisés s’activent. « Jeudi 5 mars, Sciences Po s’arrête » annonce le tract distribué à tous les passants en Péniche. Promesse tenue ? La Péniche revient sur cette journée de mobilisation, le premier blocage simultané du 27, du 28, du 56 et du 13U depuis plusieurs années. Premier épisode : l’AG. L’Assemblée Générale de « Sciences Po en lutte » (nom du mouvement contestataire contre la loi de programmation pluriannuelle de la recherche – la LPPR) réunie le 4 Mars avait voté à une très large majorité la tenue d’un blocus le lendemain…

  • Sciences Po occupé par les étudiant.e.s : premiers détails

    Suite à une Assemblée Générale qui s’est tenue dans le petit hall du 27, rue Saint-Guillaume mardi soir, une « occupation pacifique et reconductible » du bâtiment a été décidée par les organisateurs du blocage. Cette décision vaut « jusqu’au retrait de la loi ORE et de toutes les lois antisociales et racistes portées par le gouvernement ». Ce matin, des barricades faites de tables et de chaises s’élèvent devant les portes de l’immeuble principal de Sciences Po Paris, et il est par conséquent impossible d’entrer dans les bâtiments du 27, rue Saint-Guillaume et du 56, rue des Saints-Pères. Dans un mail envoyé aux élèves peu…

  • Loi Travail : le blocus à Sciences Po

    Un article écrit avec Ulysse Bellier. La décision a été prise hier mercredi 23 mars 2016, à l’occasion d’une nouvelle assemblée générale du mouvement contestataire « Sciences Po contre la Loi Travail ». Dès six heures ce matin, une cinquantaine d’étudiants ont bloqué l’accès aux deux bâtiments principaux de Sciences Po, au 27 rue Saint Guillaume et au 56 rue des Saints-Pères. Tous les cours qui devaient y être tenus ont été annulés. Une quinzaine de policiers ont été dépêchés pour assurer la sécurité de la manifestation. En milieu de matinée, deux des trois minibus de police sont partis, laissant moins de dix agents. Ils resteront en…

  • Les « poseurs de bombes » démasqués!

    Suite à l’enquête menée depuis l’alerte à la bombe et l’évacuation de Sciences Po le mercredi 27 mai, les responsables ont enfin été identifiés. Il s’agissait en fait d’un jeune professeur de 26 ans, désormais interné dans un hôpital psychiatrique pour troubles psychologiques. Un étudiant a lui aussi passé un appel mercredi dernier pour créer le même mouvement de panique mais a été rapidement identifié et arrêté par la police. Les identités n’ont pas été révélées, mais peut-être avez-vous déjà noté la disparition de l’un de vos camarades ou professeurs… Après les blocages des étudiants externes à Sciences Po, la…