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Apprendre le sciencepiste pour les nuls
Tu pensais que pousser les portes du numéro 27 de la rue Saint-Guillaume suffirait à faire de toi un mouton indissociable du troupeau ? Une goutte dans l’océan ? Un sciencepiste conforme à tous les sciencepistes ? Détrompes-toi ! Il te faut maintenant t’approprier le dialecte de ces individus étranges qui feront désormais partie de ta vie quotidienne pour te faire comprendre d’eux. Mais parce qu’on sait qu’il n’est pas toujours évident de communiquer avec des êtres dont on ne maîtrise pas la langue, La Péniche, ton journal étudiant, s’est chargé pour toi de décoder certains mots et expressions que tu entendras (puis emploiera)…
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PPS 2019 #3 : une finale à la carte
Voici venu le temps de la finale : la chèvre de Monsieur Séguin a presque terminé son combat contre ce loup qu’est le jury, là-haut dans la montagne. Enfin plus exactement, les six chèvres. L’une d’entre elle se démarquera des autres orateurs cornus mercredi soir prochain à 18h, en Boutmy. D’ici-là, retrouvons les dans leur enclos, accaparées par l’exercice de l’écriture de leur dernier discours, broutant les mots à qui mieux mieux. Mais comme l’association de chaque finaliste à une race caprine n’est pas chose facile pour tous, La Péniche a décidé de révéler la vraie nature du Pokémon qui sommeille…
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PPS 2019 #2 : Derrière chaque grand orateur, il y a de grandes organisatrices
Mercredi prochain + Boutmy + 1 jury d’exception + 6 talents + des mots à en faire oublier les maux de chacun = la finale du Prix Philippe Séguin. On ne vous la présente plus. Vous avez évidemment compris où vous êtes convié, que vous soyez ancien concourant, demi-finaliste, vainqueur d’une édition précédente, ou même étudiant international souhaitant parfaire sa maîtrise de la langue de Clemenceau ou de Taubira, de Piaf ou de Brel. En amont de la demie, La Péniche est donc partie à la rencontre de Salomé Lecroc (Présidente de Sciences Polémique et ancienne finaliste 2016), et Manon…
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PPS 2019 #1 : Qu’est-ce que le PPS ? Témoignage des anciens
Depuis un moment, l’armée rouge rongeait son frein. Les triplétades ? Un premier moyen de se présenter. Le Mirabeau ? Une façon comme une autre de rappeler à la Province que Paris reste impériale. Le Descoings ? Une manière de s’affilier entre campus et de s’entraîner une fois de plus. Car le grand affrontement, la bataille finale, s’annonce plus clairement en cette fin de semestre. Alors que le printemps paraît, les cordes vocales s’accordent, et les mains s’acharnent fébrilement sur les claviers et les feuilles petits carreaux A4, pour faire sortir des têtes des participants du Prix Philippe Séguin les plus belles des…
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Second poteau Bavard #2 : les mêmes mais empire
Prenez les mêmes joyeux joueurs qu’hier, trempez les dans un bain de sueur acre, grimez les encore une fois d’un maquillage plus ou moins bien étalé, assommez les de fatigue, mais sans les départir de leurs chants, sourires, et bonne humeur, et voilà un tableau du deuxième jour du CRIT plutôt fidèle à la réalité. Ce qui nous a marqué aujourd’hui, c’est avant tout l’inventivité des délégations-invitées dans leur manière de chercher à s’imposer face à Paris. Entre « Paris capitule à Grenoble Capitale », et « Pastis dans les veines, parigot dans la Seine », on ne peut que saluer la maîtrise du…