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Le coup de coeur littérature de l’année 2012 : Peste et Choléra
L’année 2013 déjà bien entamée, La Péniche se permet un coup d’œil dans le rétroviseur pour mettre à l’honneur l’un des livres qui aura marqué la rentrée littéraire passée ainsi que nous, lecteurs. Peste et Choléra, Récit d’une vie pour la science de Patrick Deville, aura obtenu le Prix Femina, à défaut de Goncourt. Retour sur une leçon de biographie et, paradoxalement, de style. « Il est jeune encore, et pressé, Yersin, il s’ennuie vite. Il a choisi de devenir explorateur. Il l’avait choisi avant même de devenir médecin. » Avec Peste et Choléra, Patrick Deville a acquis une renommée…
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Concours de nouvelles : Les Grands Gagnants (3/3)
Afin d'achever le semestre en beauté, le Magazine de la Péniche vous propose de découvrir la nouvelle lauréate du concours du Club-Litté du BDA. Félicitations donc à Médi Abkari!
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Concours de nouvelles : Les Grands Gagnants (2/3)
Deuxième volet de la publication des textes primés au concours de nouvelles du Club-Litté du BDA. Aujourd'hui, le deuxième prix, par CATFISH TOMEI.
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Concours de nouvelles : Les Grands Gagnants (1/3)
Le Magazine de la Péniche tient à féliciter le Club-Litté du BDA pour son concours de haute volée et vous permet de retrouver en conséquence l'intégralité des trois nouvelles primées. Distinguées par un jury composé à la fois d'étudiants et de professionnels de la profession (les écrivains Jules Gassot, Arnaud Le Guilcher et Jérôme Attal), ces nouvelles étonnent et épatent par leurs styles, leurs sujets et parfois même la virtuosité de leur plume. Troisième prix, Elliot Khayat a choisi la nouvelle à chute comme format propice à la prose poétique. Un texte habile et onirique. Note : le texte a été…
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Le dernier Guillaume Musso, Plaidoyer pour un roman de plage
A l’heure où les sciences-pistes s’acharnent à masquer leur ennui au bord de plages et de piscines, période qu’on nomme communément les vacances d’été, survient parfois un phénomène étrange. Lassé des pavés obscures survolés pour briller dans les diners mondains à venir, ainsi que par les précoces lectures obligatoires des cours du semestre d’automne, il arrive qu’on se laisse aller à considérer le rectangle tape à l’oeil négligemment posé dans un coin. On lit sur la couverture : 7 ans après, de Guillaume Musso. Et pourquoi pas ? Bien sûr, On a toujours dénigré ce genre d’auteurs, cette « littérature plébéienne » qu’il est…