• poème sans titre.

    Mardi 26 AVRIL. L’air de ce matin est drôlement sombre Au fond sur le ciel, on à peint en ombre Des formes sur les bleus orangée qui couvrent  Chaque regard.  “Il est 3 heures du matin sur la ville de Rouen” L’incendie, le Grand incendie, se propage lentement et déverse dans l’air matinal, des millions de particules  Un halo de chaleur s’élève, c’est l’usine qui brûle.  Silence – Réveil Matin.  On découvre la saleté en poussant ses volets On s’essuie sur le sopalin. On allume la radio :  “… les mécanismes ont sauté… tout, TOUT à brûlé ! Rien, RIEN…