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2012, le goût de l’apocalypse
Difficile d'échapper au matraquage publicitaire nous abreuvant d'images de chaos : le film 2012 fait parler de lui. Avec 65 millions de dollars de recette lors de son premier week-end en salle, Roland Emmerich rattrape presque le score de son film précédent, The Day after. La veine du catastrophisme rapporte, la fin du monde est à la mode.
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Petite nouvelle mordante : Carmilla, un amour de vampire.
Ça n’arrive pas souvent parce que l’on sait la méthode risquée. Mais parfois c’est comme ça on n'a plus le choix. On ne sait plus quoi lire. Et c’est important d’avoir un livre en fil rouge pour les moments de lassitude. Alors on rentre dans une librairie et on en prend un par hasard, comme ça, parce qu’il n'est pas cher ou parce que la couverture a l’air sympa. Et mine de rien c’est comme ça que l’on fait parfois des découvertes extraordinaires. Je suis rentré dans la librairie, sanctuaire du plaisir intellectuel et Am, Stram, Gram j’ai choisi Carmilla.…