• Les esprits s’échauffent en vue de la présidentielle de 2022

    À l’appel de différents collectifs présents à Sciences Po, une réunion publique a eu lieu mardi dernier afin d’empêcher l’implantation de l’extrême-droite dans les universités.  Ni Zemmour, ni toute initiative ayant de près ou de loin rapport avec le fascisme : tel était le mot d’ordre des associations à l’origine de la réunion du mardi 19 octobre. De Garces à Attac, en passant par les partis et les syndicats de gauche, les étudiantes et étudiants ont jeté les premières pierres d’une riposte antiraciste, féministe et antifasciste.  Un écoeurant “débat d’idée”  Le verdict rendu par le Conseil de la Vie Étudiante…