• 2012, le goût de l’apocalypse

    Difficile d'échapper au matraquage publicitaire nous abreuvant d'images de chaos : le film 2012 fait parler de lui. Avec 65 millions de dollars de recette lors de son premier week-end en salle, Roland Emmerich rattrape presque le score de son film précédent, The Day after. La veine du catastrophisme rapporte, la fin du monde est à la mode.