Questionnaire de Proust : Florian Zeller

20 décembre 2007 /

Pour LaPéniche.net, Florian Zeller se prête à l’exercice désormais bien connu du Questionnaire de Proust.

Le principal trait de mon caractère : La mélancolie

La qualité que je désire chez un homme : La beauté

La qualité que je désire chez une femme : L’intelligence

Ce que j’apprécie le plus chez mes amis : La fidélité

Mon principal défaut : Une certaine disposition pour l’abattement

Mon occupation préférée : Ecouter de la musique

Mon rêve de bonheur : Commencer par savoir répondre à cette question

Quel serait mon plus grand malheur ? : Perdre mon fils

Ce que je voudrais être : Un motet de Couperin. Un film de Godard.

Le pays où je désirerais vivre : Le corps d’une femme

La couleur que je préfère : Le bleu

La fleur que j’aime : Les pivoines

L’oiseau que je préfère : La mouette

Mes auteurs favoris en prose : Céline, Stendhal, Vian, Kundera, Fante

Mes poètes préférés : Eluard, Bonnefoy.

Mes héros dans la fiction : Solal.

Mes compositeurs préférés : Monteverdi

Mes peintres favoris : Kandinsky.

Ce que je déteste par-dessus tout : L’envie. La rumeur. La malveillance.

Le don de la nature que je voudrais avoir : Pouvoir revendiquer cette phrase de Silesius : « La rose est sans pourquoi. Elle fleurit parce qu’elle fleurit. »

Comment j’aimerais mourir : Sans m’en rendre compte

État présent de mon esprit : Absent

Fautes qui m’inspirent le plus d’indulgence : Celles qui n’impliquent que soi

Ma devise : Je déteste les devises.

21 Comments

  • Simon

    9 avril 2008 at 0 h 23 min

    "Qu’est-ce qu’il a Zeller?"

    J’ai lu tous ses livres. J’en préfère certains à d’autres. Mais d’une façon générale, c’est un auteur que je trouve très intéressant. Il est parfois, c’est vrai, à deux doigts de la lourdeur, (disons plutôt de la pesanteur) et c’est probablement ce qu’il veut dire quand il parle de mélancolie. D’ailleurs ses livres ne parlent que de la tentation de la légèreté, de l’étau de la gravité – il y a comme un étouffement, une impossibilité à respirer. Moi, cela m’émeut beaucoup.
    A part, peut-être, son dernier livre, Julien Parme, qui revendique plus directement quelque chose qui se situerait en dehors de toute gravité. Avec beaucoup d’humour.

    La coiffure. Ca n’a rien à voir avec une quelconque esthétique marxiste. Tu dis n’importe quoi, Miz. Il faut en revanche admettre qu’il n’est pas très bien coiffé sur cette photo…

  • Charles Tangues Alphe

    20 mars 2008 at 2 h 12 min

    L’ONU attend toujours la délégation de la république démocratique du "Corps D’une Femme" .

    Les étudiants attendent toujours la réponse à la question "héroïnes de romans" et "héroïnes dans l’Histoire".

    Et Frank Provost attend toujours M. Zeller.

  • miz

    15 janvier 2008 at 14 h 48 min

    non mèches rebelles ne veut pas dire gay, mais coupe florian zeller = marxiste

    j’ai envie de généraliser et d’attirer votre mépris, alors n’hésitez pas !!

    je vous love

  • Necrid

    14 janvier 2008 at 1 h 42 min

    ‘tain bonjour les étiquettes à deux balles. Cheveux longs = marxiste ? C’est gaudinesque tout ça.

    Et, pendant qu’on y est, les enfants, les mecs qui ont des mèches rebelles et s’habillent "métro" sont tous gays ?

  • Claudy

    11 janvier 2008 at 14 h 43 min

    Je pense que c’est du patois, c’est Ullesque si je puis dire….
    Et dire que la 3ème République était censée avoir généralisé le français…

  • Bob

    10 janvier 2008 at 13 h 57 min

    @ "Pffff, mais qu’a-t-il donc ce Florian?" :

    Il est beau, il est blond, il est charmeur ?

    Ou il est con, il est chiant, c’est un imposteur ?

  • miz

    7 janvier 2008 at 15 h 27 min

    ba et alors ?!! ou est le problème, faut bien que la star ac pense a son public ultra intelligent en train de faire des dissert le vendredi soir… c’est là que florian zeller a toute son importance

  • hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

    4 janvier 2008 at 22 h 41 min

    Florian Zeller est à la Star’ac!!!
    Quel hommmmmeuu!

    (oui, je regarde la star’ac, en faisant une dissert’ même!)