• Quand la parole se libère à Sciences Po

    « Je me suis fait violer par mon ex-petit ami », « Je lui ai dit à plusieurs reprises d’arrêter, il ne l’a pas fait », « mon consentement a pris fin au moment où le premier ‘non’ est sorti de ma bouche », « pendant plusieurs jours de vacances, je subis un harcèlement continuel pour que je le laisse me toucher ». Depuis mercredi soir, des témoignages anonymes d’agressions sexuelles affluent sur le groupe Facebook de la promotion 2024. D’abord un récit au format Word, écrit par une étudiante de Sciences Po, posté par une amie et relayé en…