Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur Richard Descoings sans jamais oser le demander…

Vous avez toujours rêvé de connaître le don de la nature que notre cher directeur aimerait avoir ?
Vous avez toujours voulu savoir comment il souhaiterait mourir ?
Vous trépignez à l’idée de découvrir la qualité qu’il désire chez une femme ?
N’hésitez plus, après son blog, après son profil Facebook, découvrez le questionnaire de Proust de Richard Descoings en exclusivité sur LaPéniche.net !

Le principal trait de mon caractère : La volonté

La qualité que je désire chez un homme : La protection

La qualité que je désire chez une femme : Le désir

Ce que j’apprécie le plus chez mes amis : La fidélité

Mon principal défaut : Etre compulsionnel

Mon occupation préférée : Dormir

Mon rêve de bonheur : Maintenant

Quel serait mon plus grand malheur ? : Mourir seul

Ce que je voudrais être : Elève à Sciences Po

Le pays où je désirerais vivre : La France

La couleur que je préfère : Le rouge

La fleur que j’aime : La pivoine

L’oiseau que je préfère : Les perdreaux sauvages

Mes auteurs favoris en prose : Alexandre Dumas

Mes poètes préférés : Rimbaud

Mes héros dans la fiction : Le voyageur sans bagage

Mes héroïnes favorites dans la fiction : Mata Hari

Mes compositeurs préférés : Verdi, Mozart pour son Dies Irae

Mes peintres favoris : Ingres, Rubens

Mes héros dans la vie réelle : Ma femme

Mes héroïnes dans l’histoire : Hélène

Mes noms favoris : Pierre, parce que « sur cette pierre je construirai mon Eglise »

Ce que je déteste par-dessus tout : La petitesse des sentiments

Ce qu’il y a de mal en moi : Aimer pour aimer

Mes aliments préférés : La crème et la viande bleue

Personnages historiques que je méprise le plus : Le Comte de Chambord pour sa bêtise

La réforme que j’estime le plus : Le Préambule de la Déclaration des Droits de l’Homme.

Le don de la nature que je voudrais avoir : Deviner les fantasmes d’autrui.

Comment j’aimerais mourir : Assassiné par un élève dans la péniche.

État présent de mon esprit : L’appétit

Fautes qui m’inspirent le plus d’indulgence : Le désir

Ma devise : Non solum in memoriam sed in intentionem

De nombreux autres questionnaires de Proust sont disponibles sur le magazine, de Yann Algan à Florian Zeller, en passant par Astrid Von Busekist et Jacques Généreux, sans oublier Pierre Assouline, Bertrand Badie ou encore David Abiker.

34 Comments

  • Claude

    Nicole, Nicole, laisse Riri gérer sa comm’ bon saaaaaaaaaaaaaaang! C’est pour montrer sa proximité avec le peuple… nous quoi, lol, car nous aussi notre couleur préférée est le rouge… et on rêve aussi de mourir en faisant un exposé de 10 minutes.

  • Nicole

    Non mais c’est vrai de qui se moque-t-on ? Non content d’avoir complétement instrumentalisé le joujou qu’on lui a confié (M. Boutmy doit se retourner dans sa tombe), M. Descoings désormais se livre à toutes les opérations de com’ du plus bas étage qui soit (Facebook, Questionnaire de Proust). Up yours Descoings!

  • Motivation

    Le principal avantage de la fonction, pour Richard Descoings n’est pas financier mais en nature. C’est de pouvoir satisfaire son envie compulsive de se donner en spectacle. ScPo n’est qu’un intrument.

  • PC

    Non mais c’est vrai qu’il y a quand même une question qui n’est pas ds le questionnaire: Combien ça gagne un richie? (ac quels avantages en nature?)

  • PS :

    Juste : les grincheux, regardez le compteur des lectures, bientôt 1000, 3 grincheux.

    Message d’espoir donc! Tous les gens ne lisent pas des articles, en sachant qu’ils ne vont pas aimer et que -oh quelle horreur, ils vont être obligés de critiquer. Oui parce que au final, vous avez lu ce questionnaire et à moins que vous n’ayez pas compris le principe du questionnaire de Proust auparavant, vous étiez avertis du contenu!

  • tHoMa$, le vrai de Lapeniche

    Et bien non, on ne vous propose pas un questionnaire TNS Sofres pour vous demander quelle est selon vous l’utilité du questionnaire de Proust de RD -même si le sondage actuel de Lapeniche vous permet à vous mécontents de vous exprimer, cochez que vous aimez que les articles de fond et hop, on aura votre avis.

    Désolé de vous le dire : on est pas chez Darty, y’a pas satisfait ou remboursé non plus, on ne peut pas plaire à tout le monde, donc comme ça a été dit au dessus, critiquez oui, mais s’il vous plaît, mettez y de la forme hein! Les "bonne chance" etc, on s’en tamponne et ça agace, à partir de ce moment là, comment voulez vous qu’on accorde ne serais-ce qu’une seconde de réflexion à vos critiques.

    A l’issue de notre mandat, je ne dis qu’une chose : bravo à nous et courage aux prochains! Et les mécontents, bah qu’ils participent, je persiste et je signe, ou mieux : qu’ils créent leur site qui sera -par essence, forcément mieux!

  • Laurie

    Disons qu’en fin de mandat, après un an à se plier en quatre pour faire des comptes-rendus de réunions pour les étudiants qui n’ont pas pu y aller, des dossiers sur la scolarité, les masters etc… Bref, des articles qu’on considère comme utiles pour les étudiants (après, peut-être qu’on se trompe), quand on introduit un petit élément de fun qui nous fait plaisir, se prendre un énième commentaire du type "Vous servez trop à rien" dans la gueule, bah faut reconnaître que ça exacerbe nos susceptibilités 😉

    Surtout que bien sûr qu’on accepte la critique parce qu’elle peut nous faire avancer, mais évitez l’agressivité, parce que ça n’aide pas à faire passer le message, et c’est plutôt décourageant pour nous !

  • Mouais-bis

    Et quand on n’a pas envie de l’entendre on feint de ne pas la comprendre. Je rejoins l’avis de "Thomas" sur l’intérêt relatif de ce questionnaire de Proust et je ne crois pas que ça soit un mal de vous le signifier.

    Après vous en faîtes ce que vous voulez, ce n’est pas la question, mais un "Nous comprenons que ça puisse ne pas intéresser mais on assume parce que…" avec des arguments qui vont bien derrière, ça serait toujours mieux qu’un : "T’es pas obligé de lire et puis c’est facile de critiquer quand on fait rien". Comme le questionnaire de Proust, c’est une réponse assez éculée…

  • Ouais

    Comment distinguer la critique du conseil inutile?

    C’est la question du jour.

    Y’a critique et critique, on s’entend. Quand on veut qu’une critique soit positivement assimilée, on la présente intelligemment.

  • Mouais

    A quoi servent les commentaires si on ne peut pas y formuler de critique ?

    C’était la question du soir.

  • Au compulsionnel

    Compulsionnel : mot nouveau ; incapacité à résister au désir de se mettre en scène. Même pour énoncer des banalités.

  • tHoMaS le seul, le vrai de Lapeniche

    Thomas, nous portons le même prénom, cool!
    Merci de tes conseillllllls, vraiment, heureusement que tu es là!
    C’est pourtant écrit dessus, comme le port salut, "QUESTIONNAIRE DE PROUST", faut pas cliquer si on aime pas…
    Ralala

    "Le pire c’est qu’après mon commentaire vous allez continuer, comme pourvu d’une noble mission de soumettre ce questionnaire magique à d’autres personnalités.
    Bonne chance."

    Merci pour Bonne chance et désolé de ne pas prendre en compte les conseils vaseux de tout un chacun.

  • Mel

    En même temps Thomas, c’est pas à Lapéniche de te prendre par la main… Si les questionnaires de Proust ne t’intéressent pas, c’est à toi de décider de ne pas perdre ton temps à les lire, personne ne t’y oblige !
    Et moi je trouve que c’est une initiative très sympa, surtout que c’est pas comme si Lapéniche faisait que ça, c’est une petite touche de fun au milieux d’articles utiles comme ceux sur les masters et les réformes de scpo. Donc si tu penses que c’est une perte de temps, personne ne t’empêche de ne pas lire les questionnaires, mais laisse-en le droit aux personnes qui apprécient !

  • Witold

    Cher Thomas,

    1. Le questionnaire de Proust est ce qu’il est, sa pertinence peut-être discutée et libre à toi de ne pas y accorder un grand intérêt, c’est parfaitement défendable et subjectif.

    2. Libre à toi, de nouveau, de ne pas perdre deux minutes de ta si précieuse vie à lire ce questionnaire s’il ne t’intéresse pas…

    3. "J’aurai perdu 2 minutes de ma vie en le lisant et LaPéniche au moins une heure en l’écrivant et le mettant en ligne".
    Rassure-toi, LaPéniche est assez grande pour décider elle-même de ce qui lui faire perdre son temps.

    4. Tu viens de perdre 2 minutes de ta vie à ruminer ton commentaire, attention, ton temps est précieux 😉

    5. N’hésite pas à devenir rédacteur pour améliorer la qualité des articles, apporter une contribution constructive, etc.

    Bonne chance.

  • Thomas

    Lapéniche je vous aime bien mais là,
    C’est vraiment ridicule ce questionnaire. Vous avez la chance de parler à Richard Descoings (ou Zeller, ou Reynié ou les autres) et vous nous faites du sous-Voici en lui demandant sa fleur préférée. La prochaine ça sera "ouh attention grosse exclu le chiffre préféré de M. Prunier est le 8 !" ?
    Vraiment ce questionnaire de Proust est utile quand il est accompagné d’autres choses. Mais là il est superficiel, vieilli, vu et revu et rerevu, et au final en tout point inintéressant.
    J’aurai perdu 2 minutes de ma vie en le lisant et LaPéniche au moins une heure en l’écrivant et le mettant en ligne. C’est triste à dire. C’est à peine superficiel. Du vide.
    Le pire c’est qu’après mon commentaire vous allez continuer, comme pourvu d’une noble mission de soumettre ce questionnaire magique à d’autres personnalités.
    Bonne chance.

  • LaPéniche

    Oui, il l’a confirmé : vous pouvez le contacter sur son inbox, il répond ! Formidable outil de communication…

  • !

    Dites donc, c’est complètement dodgy cette référence à l’Eglise :s

    ps : Moi j’ai des questions qui n’ont toujours pas de réponses, même après cette interview…

  • Mel

    Le don de la nature que je voudrais avoir : Deviner les fantasmes d’autrui.

    Fautes qui m’inspirent le plus d’indulgence : Le désir

    Très coquin tout ça !