Concours de lettre au Père Noël: les grands gagnants !

pere_noelmerged4.jpgAprès de longues heures de délibérations et des dizaines de lettres décortiquées, le jury LaPéniche, composé de cinq éminents représentants du syndicat des lutins du Père Noël, ont sélectionné les trois grands gagnants publiés !

  • À la première place, grand gagnant d’un déjeuner pour deux chez PDG, rue du Dragon et de la surprise LaPéniche: Victor Pelissier, pour sa lettre en deux parties-deux sous parties !
  • À la seconde place, gagnant deux places de cinéma et la surprise LaPéniche: Thomas Fallet !
  • À la troisième place, qui repart avec deux places de cinéma: l’Odieux Anonyme !

Toutes nos félicitations aux gagnants, mais aussi à l’ensemble des candidats qui nous ont beaucoup fait rire !! Vous repartez tous avec la Mention Summa Cum Enneigée et une lettre que vous pouvez réutiliser – à condition d’y croire !

Et voici les lettres des grands gagnants !

Première place: lettre de Victor Pelissier

Cher Papa Noël, 25 jours 6h 20 minutes et 34 secondes doivent encore s’écouler avant ce que j’attend depuis maintenant 11 mois: La Messe de Noël…. Non je déconne en vrai je veux mes cadeaux! Malheureusement mon cher Monsieur Noël j’ai le regret de vous informer que cette année je ne les mérite point. Mon début d’année à Sciences Po ayant été calamiteux je vais vous raconter mes déboires par la seule chose que j’ai jamais appris à Sciences Po: Un plan en deux parties deux sous parties

  • I. Je me suis touché sans jamais travailler
    • A. Evidemment en cours
      • 1)Dont la Micro-économie:
        • La seule raison de ma venue en cours était ce fantasme ambulant de  M.Wasmer
        • Ces venues en cours n’étaient d’ailleurs pas si nombreuse puisque leur nombre tiennent sur les doigts de la main droite de Jamel
        • Pour moi un test de Granger reste un sort magique et Ricardo mon très cher concierge.
      • 2) Et l’IP
        • Le nombre de cours auquel j’ai assisté correspond approximativement au nombre d’années d’enseignement qu’il reste à Olivier Duhamel
        • Si l’on se fie à la définition de prière de M.Duhamel alors je suis resté profondément athée ce semestre cher Père Noël
        • Malheureusement quand j’affirme je n’interroge plus. 
      • 3) Ainsi que l’Histoire
        • La barbe de Sebastien Chaba…..Euh Jean-François Chanet m’a complètement hypnotisé ce semestre
        • Ma grasse matinée du mardi matin à 8h avec ce gros nounours en face ést devenu un incontournable de mon emploi du temps
        • La longueur de mon cours était équivalente à la longueur des commentaires laissés sur facebook paralèllement
        • Mon assiduité de merde était principalement du à Vie de Merde.
    •  B) Mais également hors des cours
      • 1) Les textes écrits sont mes amis
        • Wikipédia, ma bible, mon amour, mon confident.
        • Ctrl+C et Ctrl+V  sont les touches les plus abimés de mon ordinateur, Coincidence? Je ne crois pas….
        • Ma Newsletter préféré n’est pas celle de Sciences Po mais plutôt les cours hebdomadaires de mes camarades de classe bien gentils.
      • 2) Les exposés, What Else?
        • Je commence mes exposé au même moment que la moitié des français fête Noël, c’est à dire la Veille…
        • Si les amis de mes ennemis sont mes ennemis alors Urkund en fait partie.
        • Bien qu’étant un geek (Mégavidéo représente) les PDF et moi sommes en profond désaccord.
  • II) Mon intégration dans cette « maison » a été imparfaite
    • A) Je ne suis pas un vrai Sciencepiste.
      • 1) Des évènements sans moi (snif)
        • Le WEI n’a pas voulu de moi. Mais c’est pas grave parce que je partirai en BULGARIIIE.
        • Je suis le seul Sciencepiste a ne pas avoir vu les fesses de Miss WEI. Comme dirait Ted Mosby: I’m the Blitz.
        • Heureusement ma présence à chaque grosse soirée a été assuré. Mais encore une fois je suis a châtier Petit Papa Noël pour faux, usage de faux et usurpation d’identité.
      •  2) Je suis heureux d’être là 
        • Pour moi Sciences Po n’est pas Sciences Pipo
        • Je n’ai jamais laissé de commentaire désagréble sur les articles de la Péniche et consorts
        • Je n’ai pas distribué de tract pour l’UNEF ni demander d’y adhérer. PIRE j’ai même été en faveur de la réforme des retraites.
    • B) Même si les premiers symptomes apparaissent.
      • 1) Sacrées soirées
        • Ma satisfaction de la Bleu Blanc Boat n’a été dépassé que par le nombre de litres d’alcools bu auparavant.
        • Ma Cash and Trash a très bien porté son nom.
        • J’ai trompé les videurs sur ma prétendu majorité (mouhahaaha=rires diaboliques)
      • 2) Adaptation réussie
        • In Richie I trust
        • Moi aussi j’ai versé ma petite larme lors du câlin de départ que Richard a fait à Olivier.
        • Entre passer en 2ème année et écraser la Province au Crit’ mon choix est déja fait!

Pour conclure je vous demande Monsieur Papa Noël de ne pas passer chez moi car je ne le mérite pas. Occupez vous un peu des 6 908 694 123 de personnes qui le méritent plus que moi. Mais je vous attend l’année prochaine avec un bon verre de scotch et une bonne tranche de Space Cake près de ma cheminée, Quoi? ça aussi c’est pas bien? Oups!

              Amicalement,
                                             Victor Pellissier.

Deuxième place: lettre de Thomas Fallet

Cher Père Noël,   Contrairement aux autres élèves de SciencesPo. (que ton nom soit sanctifié), je mérite pleinement de gagner le concours d’écriture, dédiée cette année aux lettres que l’on vous envoie.  Une bande de journalisteux en manque de reconnaissance sociale et de sensations littéraires fortes, communément désignés par le sobriquet de LaPéniche,  eut l’idée magistrale de feindre la satire en nous demandant, pourquoi ne nous méritons pas d’avoir des cadeaux. C’eût été fort bien tourné, si cette volonté à peine pubère de faire le rebelle entre deux cours de droits administratifs ne sombrait dans un manque profond d’originalité qui confine à l’éclat le plus adolescent de la fatuité, de la débilité et de la vacuité humaines (ô poète des rimes, je dédicace celles-là à mes cours d’écriture créative) ; je m’en vais vous esquisser le pourquoi.

Contrairement aux autres élèves de Sciences Po. donc (que ton nom soit sanctifié), je ne m’étendrai pas sur mes supposées nuit de folie avec des putes ukrainiennes ou des premières années bourguignonnes – à partir d’un certain stade la différence s’estompe – , mais, cher Père Noël, je me bornerai à dire ce que je pense à la différence de mes camarades, espérant que par cette vaine mais jouissive originalité tu me distingues parmi les bœufs littérateurs (mon intention est tout avouée je vous enlève le reproche). Contrairement aux autres élèves de SciencesPo. (que ton nom soit sanctifié), je ne vous dirai pas que je mérite de gagner le concours car je ne suis pas un gentil lycéen qui a passé sa terminale à ficher des Berstein&Milza et rêvant d’une ascension sociale fantasmée, mais en fait, toute la subtilité est là, j’étais le poète maudit imbibé d’absinthe, Baudelaire des temps modernes, et qu’au Baron on m’appelle Momo tandis je prenais des railles de cocaïne en forme de vagin.

Contrairement aux autres élèves de SciencesPo. (que ton nom soit sanctifié), je ne vous dirai pas qu’en revenant de chaque sauterie du BDE, je tripote ostensiblement un statut Facebook à 2h30 du genre « déchiré lol encore bourré lol dis donc qu’est-ce que je vais avoir l’air d’un dangereux anarchiste en cours d’IP de 8 heures tandis que je me plonge dans des actes d’onanisme social juste après avoir serré la main d’un camarade périodiquement en vue dudit BDE.

Contrairement aux autres élèves de SciencesPo. (que ton nom soit sanctifié), je ne vous dirai pas que Facebook est le meilleur moyen de faire passer ses cours de microéconomie, pourtant dûment révisés et fichés, alors qu’en réalité je noie ma profond désarroi dans du fouinage en règle de mon prochain serrage de main et dans la publication d’un statut tellement plein d’esprit que j’arriverais à persuader les autres que je serai le prochain Marcel Proust.

Contrairement aux autres élèves de SciencesPo. (que ton nom soit sanctifié), je ne vous dirai pas que l’emploi de la locution « fist » toutes les deux phrases me procure des sensations de mâle dominant ou d’étudiant politiquement incorrect sombrant en fait dans le déni hautement concerné d’homosexualité, au mieux, d’homophobie, au pire.

Contrairement aux élèves de Sciences Po, je mets au défi la Péniche de me prouver que j’ai tort en publiant cette lettre ; dans le cas contraire, le lecteur de cette missive ne se reconnaîtra que d’avantage dans la présente.
Bien à vous,
Thomas Fallet

Troisième place: lettre d’un Odieux Anonyme

L’année 2010 s’achèvera tantôt et vous aura apporté, je l’espère, les plus grands maux et les plus sévères déconvenues. Pour ce Noël je vous souhaite un lumbago carabiné – rançon de tant de cadeaux transportés de votre hotte jusqu’à nos cheminées –, une bronchite assassine, un accident de traîneau, une grève de rêne ou encore un procès retentissant aux Prud’hommes polaires intenté contre vous par deux lutins mal lunés, victimes d’un esclavagisme domestique pluri-décennal doublé d’une odieuse atteinte à la dignité humaine : on ne déguise pas les personnes de petite taille de la sorte. J’aimerai voir la liaison extraconjuguale qu’entretient votre femme, Mme Mère-Noël, avec le simiesque M. Yéti, faire la Une des tabloïds groenlandais ; voir ladite épouse se défendre par la suite et vous demander le divorce, faisant état d’une « faute grave » en référence à votre semence faible, qui en dépit d’un nombre conséquent d’années de mariage n’a su lui donner d’enfant. Je veux vous voir enfin radié des mythes populaires par une sombre affaire de drogue et que l’on lève enfin le voile sur votre curieux intérêt pour nos bambins.

Vous l’aurez compris, M. Père-Noël, je ne suis pas un grand fan, et je ne vous veux aucun bien. Loin de vous expliquer les raisons de cette détestation crasse à votre encontre, je consacrerai le reste de cette missive à vous exhorter à me rendre la pareille, à vous montrer, M. Noël, combien ma personne est exécrable et vous passer l’envie – au cas où vous l’auriez eue – de régaler mon foyer le 24 décembre prochain.

Voyez-vous, M. Noël, moi je pense les choses, je vois grand, je situe les concepts dans l’espace moi Monsieur. Je fais Sciences Po. Et je peux vous dire que vous êtes une aberration politique, Claus : un rouge partageux nourri de lubies égalitaires absurdes, car vous offrez à chacun ; un méritocrate répugnant, comme vous récompensez plus les plus sages ; mais encore, un évangéliste putride qui entend répandre la sagesse ; enfin un libre-échangiste partouzeur, qui en tout lieux fait commerce mais ne paie pas de douane, doublé d’un matérialiste abject qui écoule la production des BanDai, Fisher-Price, MB et autres WaltDisney.

Moi, M. Noël, je suis la masse innombrable des gens normaux, des silhouettes grises qui se piétinent dans le métro parisien. Je suis la somme de ces illusions enfantines déçues que votre imposture ne trompe plus. Je suis le commun, le terriblement élémentaire, le rationnel. L’éclatement nucléaire des familles nourri mon ressentiment. Je suis cette larme d’enfant quand surgit l’ultime dispute parentale. Je suis cette pilule de Prozac que saisit Mme Machin avant de pénétrer l’appartement de son ex-mari le soir de Noël « pour faire plaisir au petit ». Je suis le regard de poisson mort que Mme Machin affichera toute la soirée et qui ne dupera pas sa progéniture. Je suis cette plaque d’exéma qui dès le lendemain recouvrira l’enfant. Et ce pédopsychiatre qui diagnostiquera chez ce dernier un « préoccupant trouble du comportement ».

En résumé, M. Noël, je suis toutes ces raisons de ne plus croire en la monogamie, en l’amour, en la famille et, bien sûr, en vous. Je suis l’absurde vie-de-tous-les-jours, la banalité désillusionnée, la triste réalité. Je suis le méchant qui gagne à la fin.

28 Comments

  • Oscillateur anharmonique

    Quel plaisir de lire un tel débat, ô combien démystifiant !
    Elèves de Sciences Po ou d’ailleurs, veuillez recevoir la preuve de mon plus grand dévouement.

    Maurice, en priorité. Je t’adore, pour n’avoir pas à te détester. Cela te ferait trop plaisir et j’aime que tu te penses hauteur de langue française. Mais n’oublie pas ce maux, c’est l’arbre le plus chargé de fruits qui s’incline devant les autres. Il serait dommage ne n’être pris que pour une pomme…

    Enfin, ces belles lettres, chacune fort sympathique, m’ont particulièrement diverties et j’en remercie personnellement les auteurs.

  • juilien sorel

    Les fan réclame le nom d’oDieux annonymes.
    si se lettres d’amour sont aussi agréables que ces lettres de fiel, ça doit être un sacré don Juan ce mec.(ou cette fille après tout…)

  • Juliette

    Je répète ce qui a déjà été dit, mais les deux derniers paragraphes de la lettre de l’Odieux anonyme sont Dingues.

  • Minuit

    Et pour la médiocrité orthographique du site : Maurice, je t’en prie, présente toi au rang d’assistant du rédacteur en chef (pas rédac’ chef non plus, faut pas déconner) et va corriger toutes les fautes de tous les rédacteurs tous les jours… Je pense qu’une fois ton malheur réalisé, ton ironie sournoise aura déjà baissé d’un ton.
    Tu fais partie des gens qui m’ont fait hésiter à entrer à Sciences Po : quand on se sait supérieur comme ça, on ne prend même pas la peine de faire des études, les professeurs ne sont certainement pas à la hauteur… Reste seul, sur ta tour d’Ivoire de grammaire et d’orthographe, et laisse donc la sale populace s’amuser un peu en envoyant des lettres au Père Noël (pfff le jour où ils comprendront qu’il n’existe pas… ça va faire mal!).

  • Roger, un muscadet

    Minuit, j’ai dans l’idée que t’as du passer du temps à trouver toutes les fautes les plus horripilantes à faire pour faire sortir Maurice de ses gonds. Pour ça, BigUp. En plus tu m’as fait marrer.

  • Corekteur ortografik

    A tous ceux qui comme moi décortiquent lettre par lettre les messages de Maurice pour tenter de trouver des fautes à ce chieur (il est de la maison c’est sûre, ya qu’ici qu’on en a des comme ça….)…. gros délire!!!
    Ca sent le mec qui a un balais « orthos » dans l’anus, et qui a pas supporté d’être deuxième de la classe à la dictée du brevet des collèges.
    Continu à nous faire rêver mec…

  • Maurice

    Merci +3 de me tendre cette perche, car en plus de pouvoir donner à certains une leçon d’orthographe (et je suis d’ailleurs surpris que personne ne s’offusque de la médiocrité orthographique du site internet et de ses rédacteurs), je vais donc pouvoir te dire que par cette expression, je faisais référence à un célèbre fait divers survenu au début des années 1990, l’affaire Omar Raddad où l’inscription « Omar m’a tuer » avait participé au mystère qui entourait l’affaire. Je t’invite donc à réfléchir avant de t’énerver mon poussin.

  • o_O

    L’odieux Anonyme m’a tué ! Winner en ce qui me concerne ! Les deux premiers ont des relations à La Péniche c’est la seule explication !

    2ème lettre : trop alambiqué, faudrait penser à couper les phrases en deux quand elles dépassent les 12 lignes

    1ère : marrant mais peut mieux faire, ça vaut surtout pour l’idée géniale du plan sciences po !

    .
    .

    Et Momo, rage pas, tu gagneras l’an prochain..

  • vraie gentille

    En effet le début pourrait prêter à sourire. Mais on comprend vite l’intention de l’auteur. C’est du vécu et ça m’a beaucoup émue.

  • ignoble connard

    La troisième lettre est vraiment bien. Le cynisme amèrement amusé c’est toujours cool. À force, ça pourrait devenir indigeste et surfait, mais là l’auteur arrive à ne pas tomber dans le « putain je suis trop lucide sur notre société de merde quoi ». Respect. Et suis-je le seul à trouver sa lettre drôle… ? (comment ça « oui sale monstre ? »…)
    Sinon, la première est un peu comme ta b*** : trop courte et informe, mais rigolo.

  • Maurice

    Ahahaha, vous me dites d’être plus rigolo alors que des flots de bave dégoulinent sur votre menton tant la rage vous submerge.

  • +2

    Et puis si on rentrait dans le jeu de Maumau on dirait qu’il doit y avoir un tiret entre « Excusez » et « moi », ainsi qu’un accent circonflexe sur « du ».

  • +1

    Bien d’accord, là ça va un peu loin. Je préfère prendre le risque de voir sciences po avoir une mauvaise image à cause de quelques fautes d’orthographe plutôt qu’à cause d’un énorme snobisme et sentiment de supériorité de certaines personnes. Surtout que « incapacité notoire » me semble être plus qu’exagéré quand même. La modération au même titre que la rigueur orthographique est une grande qualité cher Maurice.

  • Minuit

    Merci de plombé l’embience, Morice! (Je panse que l’ortograffe n’est pa le plus importent pour entré a Science Po et le fait que tu ne retiènes que sa de troi lettre au Père Noël complètement décalé et délirentes, qu’en plus tu trouve util d’en fer par a toute la promo prouve un espri de finesse extrèmemen développé et rechercher dans nôtre institussion que je me charge de soutenir a traver se comentaire.

    PS : Super cool la troisième lettre, vraiment ouf..! (les deux premières aussi bien sûr)
    Et merci à LaPéniche.net d’avoir organisé un concours un peu original, c’est vraiment sympa! 🙂

  • Il faut arrêter de se prendre au sérieux Maurice

    Un peu de rigolade dans ta vie Maurice! Tu vas pas nous chier une pendule pour une faute d’orthographe! On est à sciences po ? et alors ? Il faut arrêter le snobisme intellectuel à deux balles comme tu nous le fait avec ta leçon de grec pourrie
    Détends ton string en acier inoxidable mon ami

  • Maurice

    Tu maîtrises l’ironie comme personne « demain soir ». Magnifique. Tu m’as TUER (juste dans orthographique, le « h » est après le « t » et non avant ; ça vient du grec « orthos » qui signifie « droit »). Ce qu’il me semblait bon de signaler était simplement que :
    1) je pensais que la maîtrise du français était nécessaire pour intégrer Sciences Po, d’où ma surprise d’assister à la victoire d’une personne en incapacité notoire de maîtriser la langue et son orthographe.
    2) si tant est qu’on prend le parti de faire gagner quelqu’un qui est mauvais en français, il serait bon, pour un organe représentatif de Sciences Po tel que La Péniche, de vérifier l’orthographe et la langue des articles publiés. Pour rester crédible.
    L’humour ne pardonne pas l’ignorance, mon cher.

  • demain soir

    Maurice a bien raison. N’oublions pas que l’objet du concours était avant tout la maitrise orhtographique. Ca n’est pas pour rien qu’il s’appelait « concours la péniche : pourquoi je mérite de gagner la dictée pivot cette année ». Il est évident que les capacités humoristiques des concurrents étaient d’emblée affichées comme des critères bien secondaires.

  • Maurice

    Excusez moi d’insister mais une phrase comme « Ces venues en cours n’étaient d’ailleurs pas si nombreuse puisque leur nombre tiennent sur les doigts de la main droite de Jamel » aurait du provoquer l’élimination directe du concurrent. On est à Sciences Po quand même. Ou alors c’est La péniche qui est incapable de recopier une lettre sans faire de fautes.

  • le gars

    Le concept d’élire à la deuxième place une lettre qui détruit en règle la logique humoristique du vainqueur est, à défaut d’être cohérent, très intéressant